Lionel Meunier s’est confié au micro de Vanessa Fantinel pour le podcast « Confessions classiques ».

Au cours d’une promenade sur les sentiers de Malonne, il nous offre un retour sur sa vie d’étudiant français en Belgique, ses études à l’IMEP, le début de sa carrière, les premiers pas de Vox Luminis – artiste invité des Festivals de Wallonie 2024 – et nous livre des anecdotes et impressions plus intimes…

Confessions classiques est un podcast produit par Les Festivals de Wallonie, réalisé par Vanessa Fantinel et mis en ondes par Marion Guillemette.

Musikfest Bremen Atelier permet à une sélection de jeunes musiciens internationaux de travailler pendant une semaine sur des répertoires spécifiques aux côtés d’artistes reconnus mondialement et programmés lors du festival.

Lionel Meunier animera l’atelier « Wege zu Bach III » à Ganderkesee.

La combinaison d’instruments d’époque et de voix avec l’orgue comme continuo est essentielle pour découvrir quels compositeurs ont joué un rôle formateur dans l’évolution de Bach. L’édition de cette année, qui intègre l’orgue Schnitger, se concentre sur les légendaires Abendmusiken de Lübeck.
Pendant son mandat d’organiste de l’église Sainte-Marie, Franz Tunder les a d’abord introduit dans des concerts d’orgue seul destinés aux marchands de la ville, en dehors des services religieux.
Son successeur et gendre, Dieterich Buxtehude, en fit une série de concerts prestigieux avec un grand ensemble instrumental et vocal, qui attirait comme par magie un public nombreux, venu de près ou de loin et dont a fait partie le jeune Bach.

Pour participer à cet atelier, contactez le festival : https://www.musikfest-bremen.de/en/whats-on/musikfest-atelier

Vox Luminis s’associe à nouveau au Freiburger Barockorchester et ensemble ils célèbrent les musiques pour le jour de l’Ascension. Ce thème inspire les plus grands compositeurs comme Jean-Sébastien Bach, dont quatre cantates de l’Ascension ont été conservées.

La cantate BWV 128 Auf Christi Himmelfahrt allein, festive et colorée, a été composée vers la fin de la deuxième année de Bach à Leipzig. L‘oratorio de l’Ascension BWV 11 a, lui, été écrit pour un plus grand nombre de musiciens et se termine par un chœur final triomphal.

Quant à Georg Philipp Telemann, ce sont plus de trente cantates pour la seule fête de l’Ascension qui nous sont parvenues ! La cantate Ich fahre auf zu meinem Vater (« Je monte vers mon Père ») a été composée en 1721. L’enregistrement de cette cantate est une première mondiale.