St James’s Spanish Place est une oasis spirituelle au cœur de Marylebone. Proche du Wigmore Hall, cette belle église peut retracer son histoire jusqu’au rétablissement de l’ambassade espagnole à Londres, après la restauration de Charles II. A travers ce concert, découvrez les deux périodes que Bach a passées à Weimar, durant lesquelles il a développé ses compétences dans de nombreux domaines, notamment en ce qui concerne les cantates produites dans cette ville.

« Kommt, eilet und laufet » : Vox Luminis, célèbre son 20^e anniversaire avec le festif Oratorio de Pâques de Bach (1725). Tels les protagonistes d’un drame sacré, quatre personnages bibliques soulignent chacun une facette de la résurrection miraculeuse de Jésus, dans des arias parmi les plus beaux de Bach. La fête se poursuit avec le motet d’anniversaire de Bach Singet dem Herrn ein neues Lied (1727). Happy (re)birthday!

Coproduction: Perpodium
Avec le soutien du Tax shelter du gouvernement fédéral belge via Cronos Invest.

G.P. Telemann – Die Donnerode – TWV 6:3
J.S. Bach – Missa Brevis in F major – BWV 233

Ce concert réunit le meilleur de deux univers : les voix extraordinaires de l’ensemble belge Vox Luminis et le jeu instrumental du très renommé Freiburger Barockorchester. Ensemble, ils interprètent la Missa brevis de Bach et la Donner-Ode de Telemann. Ce dernier écrivit son « Ode au tonnerre » à la suite du séisme qui dévasta Lisbonne le 1er novembre 1755, faisant quelque 60.000 morts. Cette œuvre – qui prend une tournure bouleversante lorsqu’elle est remise dans son contexte historique – s’accompagne de la première Missa brevis de Jean-Sébastien Bach. Les quatre Missae breves écrites par Bach entre 1736 et 1739 restent nimbées de mystère. Bach y recycla le meilleur de ses cantates sacrées, avec pour résultat un régal pour l’oreille, de la première à la dernière note.

G.P. Telemann – Die Donnerode – TWV 6:3
J.S. Bach – Missa Brevis in F major – BWV 233

Ce concert réunit le meilleur de deux univers : les voix extraordinaires de l’ensemble belge Vox Luminis et le jeu instrumental du très renommé Freiburger Barockorchester. Ensemble, ils interprètent la Missa brevis de Bach et la Donner-Ode de Telemann. Ce dernier écrivit son « Ode au tonnerre » à la suite du séisme qui dévasta Lisbonne le 1er novembre 1755, faisant quelque 60.000 morts. Cette œuvre – qui prend une tournure bouleversante lorsqu’elle est remise dans son contexte historique – s’accompagne de la première Missa brevis de Jean-Sébastien Bach. Les quatre Missae breves écrites par Bach entre 1736 et 1739 restent nimbées de mystère. Bach y recycla le meilleur de ses cantates sacrées, avec pour résultat un régal pour l’oreille, de la première à la dernière note.

G.P. Telemann – Die Donnerode – TWV 6:3
J.S. Bach – Missa Brevis in F major – BWV 233

Ce concert réunit le meilleur de deux univers : les voix extraordinaires de l’ensemble belge Vox Luminis et le jeu instrumental du très renommé Freiburger Barockorchester. Ensemble, ils interprètent la Missa brevis de Bach et la Donner-Ode de Telemann. Ce dernier écrivit son « Ode au tonnerre » à la suite du séisme qui dévasta Lisbonne le 1er novembre 1755, faisant quelque 60.000 morts. Cette œuvre – qui prend une tournure bouleversante lorsqu’elle est remise dans son contexte historique – s’accompagne de la première Missa brevis de Jean-Sébastien Bach. Les quatre Missae breves écrites par Bach entre 1736 et 1739 restent nimbées de mystère. Bach y recycla le meilleur de ses cantates sacrées, avec pour résultat un régal pour l’oreille, de la première à la dernière note.

G.P. Telemann – Die Donnerode – TWV 6:3
J.S. Bach – Missa Brevis in F major – BWV 233

Ce concert réunit le meilleur de deux univers : les voix extraordinaires de l’ensemble belge Vox Luminis et le jeu instrumental du très renommé Freiburger Barockorchester. Ensemble, ils interprètent la Missa brevis de Bach et la Donner-Ode de Telemann. Ce dernier écrivit son « Ode au tonnerre » à la suite du séisme qui dévasta Lisbonne le 1er novembre 1755, faisant quelque 60.000 morts. Cette œuvre – qui prend une tournure bouleversante lorsqu’elle est remise dans son contexte historique – s’accompagne de la première Missa brevis de Jean-Sébastien Bach. Les quatre Missae breves écrites par Bach entre 1736 et 1739 restent nimbées de mystère. Bach y recycla le meilleur de ses cantates sacrées, avec pour résultat un régal pour l’oreille, de la première à la dernière note.

G.P. Telemann – Die Donnerode – TWV 6:3
J.S. Bach – Missa Brevis in F major – BWV 233

Ce concert réunit le meilleur de deux univers : les voix extraordinaires de l’ensemble belge Vox Luminis et le jeu instrumental du très renommé Freiburger Barockorchester. Ensemble, ils interprètent la Missa brevis de Bach et la Donner-Ode de Telemann. Ce dernier écrivit son « Ode au tonnerre » à la suite du séisme qui dévasta Lisbonne le 1er novembre 1755, faisant quelque 60.000 morts. Cette œuvre – qui prend une tournure bouleversante lorsqu’elle est remise dans son contexte historique – s’accompagne de la première Missa brevis de Jean-Sébastien Bach. Les quatre Missae breves écrites par Bach entre 1736 et 1739 restent nimbées de mystère. Bach y recycla le meilleur de ses cantates sacrées, avec pour résultat un régal pour l’oreille, de la première à la dernière note.

Pour son 80e anniversaire, Joshua Rifkin dirigera Vox Luminis sur trois cantates de Bach : « Wahrlich, wahrlich, ich sage euch » (BWV 86), « Wer da gläubet und getauft wird » (BWV 37) et « Sie werden euch in den Bann tun » (BWV 44).

Une collaboration inédite et unique !

Le concert sera précédé d’une réflexion par Michael Maul à propos d’une cantate.

Après les compositeurs Tudor et avant Haendel, c’est Henry Purcell qui a donné son âme au baroque anglais. Avec son brillant mélange de tradition et d’innovation, l’Orpheus Britannicus a également conquis le cœur de Vox Luminis : l’une des formations belges les plus célèbres du moment. Avec le Roi Arthur, elle propose un opéra dramatique dans lequel les épées des Saxons s’affrontent, les dieux romains et germaniques se chamaillent et une bande sonore épique oscille d’un point culminant à l’autre.

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Vox Luminis fait revivre l’histoire enchanteresse de The Fairy Queen qui s’inspire du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, une pièce qui, elle aussi, titille l’imagination visuelle. Les belles voix de Vox Luminis résonneront au milieu d’un jeu d’ombres à la frontière du réel et de l’inconscient, un nouveau projet du directeur artistique Lionel Meunier et de la scénographe Emilie Lauwers, en collaboration avec la dramaturge Isaline Claeys et le cinéaste Mário Melo Costa.

Co-production : Concertgebouw Brugge

Sous la direction de Lionel Meunier, Vox Luminis fait résonner les magistrales Vêpres de la Vierge de Monteverdi dans l’église du Collège St-Michel de Fribourg.

En 1641, Monteverdi a publié ses Selva morale e spirituali, une rétrospective majeure des œuvres sacrées qu’il a produites pendant près de trois décennies en tant que directeur musical de la basilique Saint-Marc de Venise. Couvrant un large éventail de styles et d’émotions, ces œuvres font appel aux ressources expressives qu’il avait développées en tant que maître du motet d’église, du madrigal profane et de l’opéra. La sélection de Vox Luminis va des motets à grande échelle, accompagnés de manière colorée, aux créations intimes pour quelques chanteurs et instrumentistes.

En 1641, Monteverdi a publié ses Selva morale e spirituali, une rétrospective majeure des œuvres sacrées qu’il a produites pendant près de trois décennies en tant que directeur musical de la basilique Saint-Marc de Venise. Couvrant un large éventail de styles et d’émotions, ces œuvres font appel aux ressources expressives qu’il avait développées en tant que maître du motet d’église, du madrigal profane et de l’opéra. La sélection de Vox Luminis va des motets à grande échelle, accompagnés de manière colorée, aux créations intimes pour quelques chanteurs et instrumentistes.

En 1641, Monteverdi a publié ses Selva morale e spirituali, une rétrospective majeure des œuvres sacrées qu’il a produites pendant près de trois décennies en tant que directeur musical de la basilique Saint-Marc de Venise. Couvrant un large éventail de styles et d’émotions, ces œuvres font appel aux ressources expressives qu’il avait développées en tant que maître du motet d’église, du madrigal profane et de l’opéra. La sélection de Vox Luminis va des motets à grande échelle, accompagnés de manière colorée, aux créations intimes pour quelques chanteurs et instrumentistes.

Thomas Tallis: Spem in alium
Thomas Tallis: Les Lamentations de Jérémie à 5
John Sheppard: Media vita
Alessandro Striggio: Ecce beatam lucem
Thomas Tallis: Spem in alium

Le directeur artistique Lionel Meunier a choisi le motet emblématique Media Vita de Sheppard, une musique extrêmement émouvante ici flanquée de deux pièces écrites pour 40 voix a capella. Écrire pour 40 voix implique une série de défis logistiques et techniques. Tallis et Striggio se sont probablement rencontrés à Londres en 1567. L’œuvre monumentale à 40 voix de Tallis, Spem in alium, a probablement été inspirée par l’exemple de Striggio. Alors que la composition Ecce Beatam lucem de Striggio était probablement conçue pour une exécution en demi-cercle, Tallis avait conçu sa musique pour être entendue « en rond », l’auditeur étant assis dans le cercle des chanteurs. La musique semble ainsi « tourner » autour d’un cercle.

Au milieu du XVIe siècle, la polyphonie dans la pratique religieuse a fait l’objet d’un débat animé au Vatican. Les sceptiques soutenaient que le jeu complexe des lignes chantées simultanément rendait difficile la compréhension des mots, ce qui constituait une bonne raison de bannir la musique polyphonique de la liturgie. Leur adversaire le plus notoire – selon la légende – était le pape Marcel II. Son insistance sur le fait que la polyphonie pouvait en fait être clairement comprise est peut-être la déclaration la plus remarquable de son pontificat, qui n’a duré que 22 jours. Giovanni Pierluigi da Palestrina fut chargé d’écrire une nouvelle messe pour donner raison au pape. La Missa Papae Marcelli est une réussite à tous égards : des textures transparentes assurent la fluidité des textes sans le moindre compromis en termes de style ou de raffinement. L’œuvre est devenue un parangon de la polyphonie tridentine, inspirant des générations de compositeurs et valant à da Palestrina l’épithète de « sauveur de la polyphonie ». Les voix de velours de Vox Luminis feront briller ce joyau de la couronne avec autant d’éclat qu’à l’époque de Palestrina.

Avec Cristóbal de Morales, Vox Luminis se consacre au compositeur le plus important de la péninsule ibérique dans la première moitié du 16e siècle, surnommé « la luz de España en la música » (la lumière de l’Espagne en musique). Il n’a pas seulement travaillé dans les cathédrales espagnoles, mais a également été pendant des années chanteur dans le chœur pontifical de la chapelle Sixtine. Sa Missa Pro Defunctis à cinq voix, imprimée à Rome en 1544, est un requiem aux dimensions somptueuses, un jalon de la musique sacrée occidentale.

La troisième partie de l’atelier « Wege zu Bach » animée par Lionel Meunier et d’autres membres de Vox Luminis depuis le 2 septembre ouvre de nouvelles portes sur les inspirateurs du grand maître baroque. Un nom revient toujours : Dietrich Buxtehude. C’est vers lui que Bach s’était rendu en pèlerinage d’Arnstadt à Lübeck en 1705, car c’est là que se déroulaient les Abendmusiken, sans doute la plus ancienne série de concerts publics au monde. Buxtehude avait développé la tradition fondée par son prédécesseur Franz Tunder dans l’église Sainte-Marie pour en faire de magnifiques concerts spirituels. Sa cantate Ihr lieben Christen, freut euch nun, que le jeune Bach aurait pu entendre, en est un témoignage. Bach a à son tour copié des œuvres de Nicolaus Bruhns, un élève de Buxtehude mort jeune en 1697, et a contribué à leur diffusion après son retour en Allemagne centrale.

Après les compositeurs Tudor et avant Haendel, c’est Henry Purcell qui a donné son âme au baroque anglais. Avec son brillant mélange de tradition et d’innovation, l’Orpheus Britannicus a également conquis le cœur de Vox Luminis : l’une des formations belges les plus célèbres du moment. Avec le Roi Arthur, elle propose un opéra dramatique dans lequel les épées des Saxons s’affrontent, les dieux romains et germaniques se chamaillent et une bande sonore épique oscille d’un point culminant à l’autre.

En collaboration avec l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège.